Comment bien choisir et porter son couvre-chef ?

Les couvre-chefs ne sont plus l’article vestimentaire essentiel qu’ils étaient autrefois, mais ils sont toujours portés par les deux sexes pour des raisons de mode et de fonctionnalité. Savoir quand enlever un chapeau est aussi important que de porter le bon chapeau pour l’occasion.

Si vous étiez un chevalier médiéval qui ne retirait pas son heaume ou ne levait pas sa visière pour s’identifier, les conséquences pourraient être fatales. Tout au long de l’histoire, les chapeaux ont permis d’identifier le statut social et le fait de retirer son chapeau était un geste de respect.

Dans le « vieux temps », les hommes enlevaient leur chapeau dans les églises chrétiennes, lorsqu’ils entraient dans la maison de quelqu’un, lorsqu’ils saluaient un patron et toujours en présence d’une dame. Les dames étaient totalement exemptes des « règles du chapeau », et le port du chapeau était autorisé quand et où elles le souhaitaient.

Si certaines de ces coutumes sont désormais des notes de bas de page historique, même dans la culture décontractée d’aujourd’hui, les hommes et les femmes enlèvent encore leur chapeau en signe de respect.

J’ai donc envie de vous en apprendre un peu plus sur les trois grandes familles de couvre-chefs : le chapeau, la casquette et le bonnet. L’article se terminera par un guide rapide pour choisir le meilleur chapeau pour la forme de votre visage.

LE PLUS ÉLÉGANT : LE CHAPEAU

Le chapeau est le type de couvre-chef le plus noble. Il a pris de nombreuses formes, mais il était avant tout un vecteur de thèmes politiques et sociaux, ainsi que la capacité de transmettre un mode de vie spécifique (comme le chapeau haut de forme).

Cette histoire n’a toutefois pas totalement disparu : il est toujours préférable de retirer son couvre-chef lorsqu’on se présente à quelqu’un, en signe de respect. Cette pratique est analogue à l’habitude, aujourd’hui dépassée, de retirer momentanément son chapeau lors d’une rencontre.

LE FEUTRE, MATIÈRE DE PRÉDILECTION

Le feutre peut être fabriqué à partir de laine de mouton ou, dans des formes plus aristocratiques, de fourrure de lapin ou de castor.

La différence entre le feutre de laine et le feutre de poils est significative : le feutre de laine est plus rugueux, plus sensible à l’humidité et un peu plus terne. Le premier est plus rugueux, plus sensible à la pluie, et un peu plus terne. Le second offre un toucher plus doux, capte plus de lumière et est plus résistant à l’eau. L’harmonie de la forme et du matériau sera également un excellent signe de sa qualité.

Le feutre n’est pas une étoffe tissée. Les poils sont peignés et cardés pour obtenir un voile délicat, aéré et duveteux. Ensuite, il est enroulé autour de cloches en bois.

UN PROCESSUS DE FABRICATION DIFFICILE

La fibre obtenue est placée sous pression avec de l’eau chaude ou de la vapeur : c’est grâce à cette étape primordiale que les écailles s’ouvrent et se mélangent. Avant de passer dans un foulon, cette étape est parfois répétée en ajoutant de l’acide sulfurique.

La teinture est souvent effectuée à ce stade du processus de fabrication, avant que le chapeau ne soit construit. Le défi consiste à étendre le feutre encore en forme de cloche, épais et incroyablement serré pour commencer à le mouler dans le chapeau.

Des moules en aluminium sont fabriqués à la forme et à la taille requises, et le matériau est ensuite appliqué pour le comprimer à chaud. Un petit ponçage et quelques petites finitions apporteront la touche finale au chapeau !

QU’EN EST-IL DES AUTRES MATÉRIAUX ?

Évidemment, divers matériaux sont utilisés pour fabriquer des chapeaux : palmes tissées, flanelles laminées, coton…

L’uniformité des matériaux utilisés et la forme du chapeau sont souvent utilisées pour juger de la qualité. A quelques exceptions près, notamment en été, le chapeau en feutre reste une référence sans équivoque ET intemporelle.

Cela nous incite à chercher l’inspiration dans les différents types de chapeaux !

LES PRINCIPAUX STYLES DE CHAPEAUX POUR HOMMES

Je vous suggère de passer en revue les principales familles de chapeaux. Certes, la liste n’est pas complète, le but est de donner une approche de départ.

LE FEDORA UN GRAND CLASSIQUE

C’est très probablement l’un des chapeaux les plus connus.

Il se caractérise souvent par un large bord, un sommet évidé et une tresse. Il est parfois porté au soleil car il est fait d’un feutre raisonnablement doux, fin et agréable.

Il existe également des tissus en coton, en lin et autres.

Bien qu’il soit plutôt formel, sa démocratisation a inspiré des styles beaucoup plus informels, comme un jean et un pull à col roulé, ou un tee-shirt blanc et un chino. Cela en fait l’une des casquettes les plus adaptables et les plus simples à porter.

Un achat formidable pour commencer à personnaliser votre chapeau ! Il existe des articles dont le prix varie de 20 à 200 euros. D’après ce que j’ai vu, les bons dispositifs, bien faits et supposés durables, coûtent entre 90 et 100 €.

Le fedora est également connu sous le nom de « borsalino » en italien. Borsalino était autrefois une marque de fedoras.

Le trilby est un chapeau de style fedora avec un bord plus étroit et un sommet plus haut. Je pense qu’il est plus informel et estival en raison de son bord plus étroit, mais il peut toujours être porté avec des costumes.

Il est parfait avec un t-shirt uni et un chino.

Vous devez prévoir un budget compris entre 40 et 200 euros. La fourchette de prix typique de 80 à 100 euros comprend déjà des choses exceptionnelles.

LE CHAPEAU MELON DE RENOMMÉE MONDIALE

Le plus sphérique de tous les chapeaux est aussi l’un des plus légendaires ! La série britannique du même nom y est pour beaucoup et illustre à merveille l’ambiance vintage qui caractérise cette œuvre.

Le chapeau melon, qui était à l’origine plus informel, est désormais souvent porté avec des vêtements formels. Il peut toutefois être associé à un look plus décontracté. Si vous ne voulez pas porter de costume, un pantalon et un pull épais ou une veste en cuir cintrée feront l’affaire !

Faites attention à l’ajustement de la casquette : elle doit être assez dure et reprendre sa forme initiale en cas de collision. Sinon, la matière risque de s’affaisser avec le temps, ce qui n’est pas envisageable avec une forme complètement ronde.

À partir de 50 €, vous pouvez commencer à trouver des articles fascinants.

LE PANAMA POUR L’ÉTÉ

Le panama, symbole de l’été – notamment de Roland Garros – se caractérise par sa matière plutôt que par sa forme. Il s’agit d’un chapeau en paille soigneusement tressée qui peut être anguleux, arrondi ou avoir des bords de taille variable.

Cela dit, il hérite souvent de la forme du fedora, ayant presque toujours un gallon. Le panama est généralement élégant et se marie bien avec des ensembles chics et décontractés.

Dans le cadre d’une sprezzatura, une chemise, un pantalon blanc et des chaussures basses feront l’affaire, mais le panama sublime également un costume porté avec un tee-shirt ou une chemise ouverte. Le plus difficile sera de trouver le  » courage  » de le porter plutôt que de l’assortir !

Le coût sera déterminé par la matière. Aujourd’hui, vous pouvez acheter de « faux » panamas en tissu synthétique, tissés à la machine, pour moins de vingt euros… mais ils se décolorent rapidement au soleil et ont l’air bon marché.

Les véritables panamas en paille coûtent généralement environ 100 euros ou moins dans les régions de fabrication sud-américaines. Si vous le souhaitez…

LE PORK PIE, PLUS DIFFICILE À PORTER

En raison de sa forme de tarte, le pork pie hat est probablement le plus difficile à assortir.

Il a fait un retour en force récemment, avec des ensembles moins formels que d’habitude. Perfecto, jeans, cardigan : ce chapeau ne fait pas exception et peut être habillé en haut ou en bas selon votre humeur.

Il est à noter qu’il est souvent porté en sombre ou en noir : dans le cas d’un article aussi original, c’est beaucoup moins humiliant !

Les pork pies peuvent être trouvés en tissu plutôt qu’en feutre, avec un prix d’environ 50 €. Les variantes en feutre les plus opulentes vous coûteront entre 80 et 100 €.

CHAPEAUX HAUT DE FORME, CHAPEAUX BOB ET CHAPEAUX DE COW-BOY : LES STYLES À CONNAÎTRE PAS À METTRE !

Il existe des centaines de styles de chapeaux, mais ils n’ont pas tous leur place dans notre placard.

Le chapeau haut de forme, sans doute le plus aristocratique d’entre eux, ne peut plus être porté au quotidien (certains l’utilisent lors de mariages ou de célébrations traditionnelles). Il faut donc vraiment avoir une raison impérieuse de le sortir. Si ce n’est pas le cas, ne prenez pas le risque !

Le bob est le parent pauvre de la famille des chapeaux. Il n’est plus utilisé que par les pêcheurs et les chasseurs en raison de sa toile de coton « basique » et de sa forme irrégulière. Il faudra sans doute attendre encore quelques années avant qu’il ne redevienne à la mode. Ou, d’ailleurs, pas.

Le chapeau de cow-boy, bien que toujours porté par certains Texans et amateurs de déguisements, n’a pas sa place dans nos vêtements ni sur nos têtes. Ce chapeau, qui se décline en de nombreuses variantes (Cattleman, Brick, Gambler…), est légendaire et constitue un aspect essentiel de la mode masculine américaine, Ralph Lauren comptant parmi ses fervents admirateurs.

LA CASQUETTE, UN ACCESSOIRE QUI TRAVERSE LES STYLES, DU MILITAIRE À LA RUE

La casquette, bien qu’étant une icône de la culture hip-hop et du streetwear, trouve ses origines dans… la tenue militaire.

Ce chapeau, influencé par le képi, était apprécié pour sa visière, qui minimisait le danger d’éblouissement.

Il a ensuite été adopté par la classe ouvrière et des professions spécifiques (chauffeurs, chefs de gare, etc.), ce qui en fait un vêtement de travail fondamental à l’époque : le vêtement de travail « authentique ».

La casquette est portée par tous, des officiers de la marine aux joueurs de baseball en passant par les célébrités du rap et du hip-hop.

La casquette a inspiré de nombreuses entreprises et designers, qu’il s’agisse d’un article promotionnel, d’un béret en feutre ou d’un morceau de cuir orné de diamants.

Aujourd’hui, lorsque les beaux jours reviennent, sa forme « sport » est partout : il faut convenir qu’elle est assez fonctionnelle et qu’elle offre une variété de designs, évitant de voir les mêmes partout… Malgré le fait que certains modèles soient beaucoup plus populaires que d’autres !

Il existe à peu près autant de méthodes pour fabriquer une casquette qu’il y a de styles. Dans la plupart des cas, vous devrez découper les composants et les assembler :

  • En commençant par le haut, construisez ce que l’on appelle « la couronne ».
  • Soit en assemblant les pièces une par une.

La visière demande beaucoup de travail : sa rigidité est permise par la présence d’une feuille, généralement en carton, entre plusieurs couches de tissu.

On les classe en gros en deux groupes : Les européennes (traditionnelles) et les américaines.

À L’ENDROIT OU À L’ENVERS ?

Une question délicate à répondre… Disons qu’il n’est pas toujours possible de porter la casquette à l’endroit, à moins que le soleil ne soit particulièrement présent. Porté à l’envers, la casquette peut vous faire paraître enfantin et idiot. Mais, à mon avis, il n’y a pas de solution définitive à ce problème.

Portez la casquette à l’endroit si vous pensez que la visière sur votre nuque vous donne l’air d’un adolescent. Portez-le à l’envers si vous voulez simplement bousculer l’apparence de votre ensemble, surtout s’il contient des éléments extrêmement traditionnels !

Un bref coup d’œil dans le miroir devrait permettre de répondre à cette question. Si ce n’est pas le cas, les deux alternatives s’offrent à vous, et vous n’avez qu’à en choisir une.

LES CASQUETTES EUROPÉENNES :

LA GAVROCHE ET SON COUSIN IRLANDAIS, DES CLASSIQUES DURS À PORTER 

La gavroche et la casquette irlandaise sont toutes deux circulaires, très plates, et possèdent une courte visière. Cette dernière, en revanche, est la seule à posséder huit pans.

Elles sont les plus décontractées des casquettes traditionnelles… peut-être un peu trop décontractées, ce qui leur donne un côté casse-tête. Leur aspect « bouffant » les rend assez confortables, car elles ne compriment pas les cheveux, ce qui a un équivalent « négatif » avec cet apparence un peu désordonnée.

LE BÉRET ET LA CASQUETTE PLATE, PLUS STRUCTURÉES

Le béret ou la casquette plate sont beaucoup plus stylisés et, surtout, populaires chez les hommes de nos jours. Ils sont fabriqués en tweed et vous permettent d’expérimenter avec les tissus, les couleurs, et même les motifs à chevrons…

L’aspect réaliste, presque rustique, du béret donnera de l’individualité aux vêtements les plus banals. Il peut être porté avec une bonne veste en laine et un jean, mais il peut aussi être porté avec un cardigan et un chino. Vous pouvez également le porter avec un T-shirt, un jean et des tennis. Vous avez le choix !

LES CASQUETTES AMÉRICAINES

Enfin, nous sommes parvenus à l’un des types de couvre-chefs les plus répandus : la casquette américaine. Elle est si courante qu’on l’appelle simplement « casquette », évitant ainsi tous les autres membres de cette grande famille. Elle est pourtant la plus récente d’une longue série de chapeaux, adoptant la visière et le renflement de ses ancêtres.

LA CASQUETTE DE BASEBALL, OU FITTED CAP

Cette nouvelle génération est menée par une casquette conçue pour un sport très populaire aux États-Unis : vous savez déjà de quoi je parle : le baseball ! Elle se distingue avant tout par son « fitting », avec une visière plus longue que les modèles standards, un tissu en coton très résistant, et un style très athlétique.

Elle a été conçue pour être bien ajustée sur la tête afin d’éviter qu’elle ne se déplace au cours des matchs. Par conséquent, elle est pratiquement la seule à être disponible dans de nombreuses tailles. La marque ERA a popularisé le « fitting », tel qu’on l’appelle.

Ce chapeau traditionnel présente deux variantes principales : la visière est soit plate, soit courbée.

Vous pouvez opter pour une tenue classique ou audacieuse, côté vestimentaire.

Le premier choix consiste à porter une tenue décontractée, comme un pull et un jean, ou – ce qui fonctionne particulièrement bien – une chemise en chambray et un chino léger. La casquette ajoute un élément sportif.

La porter avec un vêtement formel, comme une veste, est une alternative un peu plus risquée. Les hommes peuvent toutefois la mettre avec un costume, bien que le résultat ne soit pas spectaculaire.

Dans tous les cas, gardez à l’esprit que la casquette est devenue totalement omniprésente. Elle n’attire plus vraiment l’attention, alors ne vous donnez pas la peine de l’assortir. Surtout en tenue décontractée, où il est difficile de se tromper.

LA SNAPBACK

La snapback, une version plus moderne de la casquette, tire son nom de sa sangle mobile à l’arrière. Elle se distingue également par sa grande visière plate et son devant bombé, qui sont parfaits pour afficher de gros logos.

C’est aussi l’un des plus répandus, grâce à la maille aérée – ou même un filet – à l’arrière. Il évoque mieux que quiconque la culture hip-hop et on le voit souvent sur la tête des plus grands musiciens du secteur, ce qui ne l’a pas empêché d’être une référence en matière de style masculin au cours des 3 ou 4 dernières années.

La starback, sa petite sœur, ne se distingue que par sa languette en plastique.

Bien sûr, vous n’êtes pas obligé de porter la snapback avec des blousons bombers, des pantalons larges et des tatouages. Un tee-shirt et un pantalon peuvent apporter la décontraction nécessaire pour porter cette casquette.

Si vous voulez opter pour un look plus décontracté, suivez l’exemple d’Alexandre et mettez une bonne veste en cuir sur votre chino ; c’est une évidence !

Enfin, les amateurs de snapback pourront la porter dans un cadre un peu plus formel, par exemple avec un pantalon de flanelle.

LE BONNET, UN AMI CONTRE LE FROID

Enfin, nous clôturons notre petit guide des couvre-chefs d’hiver avec le bonnet. Tricoté dans différentes laines (mérinos, cachemire, etc.), il est à la fois pratique et chaud par temps froid.

Ils sont confectionnés en tricot plus ou moins épais selon le style recherché. Un excellent bonnet, comme tout pull, a un tricotage très régulier, serré et plat. Les coutures du haut doivent être nettes et « droites », c’est-à-dire sans (trop) de torsions.

Il existe plusieurs sortes de bonnets, mais ils sont tous assez semblables.

LE BONNET COURT EST UN CHOIX SÛR

C’est la forme la plus basique.

Elle s’arrête au sommet du front et dissimule une partie des oreilles lorsqu’elle est placée fermement sur les cheveux. Il est incroyablement utile et souvent abordable, et il peut être porté avec n’importe quel vêtement et style. On le porte pour la chaleur plutôt que pour la mode.

Notez que le bonnet court, comme le bonnet long, peut avoir un revers ou un pompon !

LE BONNET LONG POUR UNE TENUE PLUS DÉCONTRACTÉE

Comme les bonnets longs font un petit renflement sur le dessus, ils couvrent à peine les côtés de la tête. Certains atteignent même la nuque.

Ils sont plus orientés streetwear et conviennent mieux à une tenue décontractée et relaxante. 

ET LES AUTRES ?

Enfin, je dois mentionner les chapkas et bonnets péruviens…. même si je les déconseille fortement.

Ils étaient populaires il y a quelques années mais ont presque disparu aujourd’hui. Cela n’enlève rien au confort et à la praticité qu’ils peuvent avoir, notamment avec les rabats qui protègent bien les oreilles. Qu’importe le style si le temps est vraiment mauvais !

COMMENT SAVOIR QUELLE TAILLE DE CHAPEAU VOUS DEVEZ PORTER ?

La méthode pour déterminer la taille est assez simple : placez le ruban au centre de votre front, au-dessus de vos sourcils, et ramenez-le directement à l’arrière de votre tête. Les différences de taille sont généralement mesurées en centimètres.

COMMENT CHOISIR UN COUVRE-CHEF EN FONCTION DE VOTRE MORPHOLOGIE ?

Un couvre-chef, comme tout autre vêtement, ne doit pas être choisi au hasard !

POUR LES VISAGES OVALES

Excellente nouvelle ! Tout est permis puisque la forme ovale s’adapte facilement aux couvre-chefs rigides et droits ainsi qu’aux modèles plus arrondis. Vous êtes donc le bienvenu.

POUR LES VISAGES LONGS…

Cela devient plus complexe !

Nous vous recommandons d’éviter les couvre-chefs trop droits et à haut sommet. N’ayez pas peur d’ajouter un peu d’horizontalité à votre visage en portant des chapeaux à larges bords légèrement recourbés vers le haut pour éviter de paraître trop géométrique.

Vous pouvez aimer le fedora ou le béret… En hiver, un chapeau court peut aider à rétrécir et à équilibrer le visage.

ET QU’EN EST-IL DU VISAGE CARRÉ ?

Les formes droites sont à éviter pour ceux qui ont un visage carré ou anguleux. Vous êtes les candidats parfaits pour le chapeau melon, qui peut adoucir le visage grâce à ses formes rondes et épurées.

LE CAS DU VISAGE ROND

Pour ne pas alourdir votre visage, vous devez éviter de porter un chapeau melon en permanence.

Le fedora, en revanche, avec son bord relativement large et sa couronne haute, peut donner un peu de structure.

En hiver, vous pouvez porter un béret, à condition d’avoir un modèle aux lignes droites.

OÙ TROUVER UN CHAPEAU, UNE CASQUETTE, UN BONNET… ?

Il n’y a pas beaucoup de magasins de chapeaux dans la région. Cependant, si vous en avez la possibilité, faites-vous une faveur et achetez-le dans un magasin : ce n’est pas toujours plus cher, et cela vous permet de bénéficier de l’assistance d’un professionnel. C’est aussi l’occasion d’en apprendre davantage sur cet « article » extrêmement rare.

Quelques exemplaires peuvent également être trouvés chez la plupart des grands détaillants de prêt-à-porter, tels que Menlook, L’Exception et Farfetch. Pensez à la marque classique Borsalino, qui est une valeur sûre.

Si vous voulez des articles classiques mais de fabrication traditionnelle, la firme émergente Chapoleone crée en France des pièces personnalisées exquises à partir de 129 €. Lock & Co, une maison londonienne réputée depuis des générations, est également une institution, tout comme la Maison Michel.

La variété est encore plus grande en matière de casquettes : toutes les marques et tous les styles sont assurés d’avoir un couple. Pensez à venir chez Larose Paris si vous voulez trouver quelque chose d’un peu différent.

Enfin, les bonnets simples sont largement accessibles à des coûts raisonnables. Saint James propose des articles durables et de haute qualité à partir de 30 euros ! Carhartt et même Superdry proposent quelques bons modèles pour des variantes plus streetwear.

Il existe des sites spécialisés comme Headict, Chapellerie-Traclet, et Chapeaushop.

Dans tous les cas, essayez de parcourir les différentes catégories d’e-shops : ils proposent souvent une variété de styles de couvre-chefs différents.

N’hésitez pas à nous contacter si vous avez d’autres questions. Nous nous ferons un plaisir de vous répondre !

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